Nouvel épisode de notre feuilleton: Immobilier, panique et spéculation.
Dans cet opus, règne une certaine agitation au sommet de l'Etat. Le Monarque, possédé par sa pulsion de reconquête d'un pouvoir dont il n'a jamais su être à la hauteur et persistant à croire qu'il peut être réélu[1], repart en mode ribouldingue. Dans ce festival de gesticulations stériles où il fait mine de découvrir que réside depuis 5 ans à l'Elysée un nuisible à 500 Milliards ayant cassé le moral du pays, le Karcher à promesses est réenclenché. Ainsi, il nous annonçait la semaine passée, via la peluche Apparu[2], une flopée prochaine "de mesures extrêmement puissantes" sur le logement.
Il faut dire qu'il y'a péril en la demeure.
Depuis un mois, nous assistons à la parade des promoteurs et parasites de l'immo (on les appelle aussi "les professionnels") servant en plateaux toutes les larmes de leur lobby histoire que le gouvernement ne les oublie pas avant mai.
Dans cet opus, règne une certaine agitation au sommet de l'Etat. Le Monarque, possédé par sa pulsion de reconquête d'un pouvoir dont il n'a jamais su être à la hauteur et persistant à croire qu'il peut être réélu[1], repart en mode ribouldingue. Dans ce festival de gesticulations stériles où il fait mine de découvrir que réside depuis 5 ans à l'Elysée un nuisible à 500 Milliards ayant cassé le moral du pays, le Karcher à promesses est réenclenché. Ainsi, il nous annonçait la semaine passée, via la peluche Apparu[2], une flopée prochaine "de mesures extrêmement puissantes" sur le logement.
Il faut dire qu'il y'a péril en la demeure.
Depuis un mois, nous assistons à la parade des promoteurs et parasites de l'immo (on les appelle aussi "les professionnels") servant en plateaux toutes les larmes de leur lobby histoire que le gouvernement ne les oublie pas avant mai.
1er cas,
Hiver 54 chez Nexity.
Hiver 54 chez Nexity.
Les années où le pognon s’accumulait facile grâce au "foncier pour les fauchés" sont terminées. Tous les pigeons ayant été pigeonnés, le marchand qui vendait de rêve de standing à un peuple terrorisé par son déclassement, doit recalibrer sa cible s'il veut continuer à marger grave.
11 janvier. Lendemain de l’appel de Cantona pour placer le logement au coeur de la campagne présidentielle, je reste interdit devant une intervention radio de Alain Dinin, patron de Nexity, reprenant à la volée l'action de la fondation Abbé-Pierre pour rappeler que "85% de la population française ne peut pas acheter son logement".
Et le patron de Nexity (qui m'a spamé durant des années pour qu'avec mes 1500 euros de revenus je fasse de la défiscalisation avec ses apparts en carton vendus 10X le prix) de poursuivre avec un "Le problème n'est pas de faire une France de propriétaires. Il faut faire une France de bien-logés". Purée, c'est beau comme du Seb Musset.
Le boy scout du béton enfonce le clou: "Je sais qu'il ne faut pas faire de philosophie mais, au fond, c'est de vivre ensemble dont on parle. On ne peut pas continuer d'exclure". Tombant de la chaise à ce moment précis, je n'ai pleinement pu apprécier le plaidoyer du promoteur ému déplorant l'exode des classes moyennes consécutif à la flambée des prix (oui, celle-là même sur laquelle il a surfé pépère durant une décennie et demie en poussant les gens à accéder à la propriété, au choix, toujours plus cher ou toujours plus loin).
Dinin a beau minimiser l'influence des "produits" pour échapper à l’impôt via l'immobilier (concernant pourtant 75% des constructions neuves en 2010) ainsi que les crédits à bas taux pour les financer, il redoute la fin du juteux business-model. Le climat craint: le politique tremble pour sa note chez Fitch et le gouvernement resserre lentement les niches fiscales du secteur. L'explosion de la pauvreté par le logement ou l'absence de logement, c'était de la gnognote. Maintenant que le volume des transactions baisse pour Monsieur Pognon, tu comprends: "il y'a urgence dans les décisions".
Dans Le Figaro, le samaritain de PTZ envisage même de diminuer ses prix de 5% cette année (après les avoir explosé de 6,5% en 2010). Comme dirait Jean-François Copé lorsqu'il est à court d'idées pour expliquer l'échec de 5 ans d'UMP (c'est à dire deux fois par phrase): "la crise est passée par là".
Après les grossistes, passons aux dealers. Là aussi, grosse inquiétude: Perte du triple A et baisse sensible des intentions d'endettement chez les particuliers pour 2012. Bien média-trainé, Philippe Taboret, le boss du courtier en crédits Cafpi, intervenait le 16 janvier chez nos amis de la chaîne immo.
Dans un contexte où "L'immobilier est attaqué de tous les côtés" [comprendre, c'est la fin du Sceliier, la TVA augmente et le recul du délai pour bénéficier d'exonérations sur les PV de résidences secondaires], "on est vraiment dans une situation de désolvabilisation des emprunteurs" [comprendre, les banques ne vont désormais prêter qu'aux riches et ce n'est pas avec des bons payeurs qu'on gagne notre vie ma petite dame]. P.Taboret s'inquiète de l'assèchement du marché des primo-accédants. Avec une hausse des taux à 5%, "le [crédit sur] 30 ans devient difficile à obtenir". [Saperlipopette, la machine à gogos est cassée !] "Espérons qu'on trouve des solutions" suggère sans nuance le Taboret, rappelant que "l'immobilier est un élément important de la croissance" [et d'abord celle des vendeurs de crédit, des spéculateurs et des rentiers] avant de pointer que "bien évidemment s'il n'y a pas l'Etat pour venir soutenir la croissance et la relance, ça pose de grandes difficultés".
Pas besoin de clin d'oeil, le message est passé à l'Elysée.
Taboret affiche tout de même la confiance des beaux jours et, lorsqu'on lui oppose "hausse des taux = baisse des prix", comme l'ami Nexity il rétorque de son atout ultime (mais légèrement surfait, nous y reviendrons): "on reste dans une pénurie". Puis, il poursuit dans une vrille auto-convaincue sur le marché qui ne peut pas baisser et sur l'immobilier qui "est tout sauf un marché spéculatif". Une prestation qui mérite le Gérard du meilleur camelot d'infomercial.
Le patron serein dont on a compris en sept minutes et malgré ses roucoulements que l'activité se contracte méchant, se termine sur un bullshitesque: "L'Etat ne doit pas complètement négliger le logement en France [...] et sortir enfin une politique de logement. J'espère que le gouvernement nous en proposera une, car c'est de la croissance et du social". J'espère pour ma part que le lecteur saura apprécier à sa juste valeur cette tartufferie. Après s'être goinfré pendant des années sur la bulle, le courtier remplace les mots "projets immobiliers" dans ses prospectus (au bas des photos de couples hilares à l'idée de se coller quatre décennies de traites pour un placement foireux à Gerbouly-la-Décharge) par les mots "logement" et "social" dans des suppliques policées à destination des pouvoirs publics. Pourvu que l'Etat fasse enfin quelque chose pour le logement afin de sauver sa petite entreprise à générer du pauvre.
La Mairie de Paris entend faire respecter le droit en obligeant juridiquement les propriétaires de locations meublées courte durée à modifier le statut foncier des biens concernés en "locaux à usage commercial". Ce qui entraîne une amende de 2000 euros des frais parfois élevés.
20minutes nous apprend le 19 janvier que seulement 5 condamnations ont été prononcées pour le moment. Mais cela suffit pour mettre le mini cartel des agences de meublés parisiens en transes et provoquer la colère des PPP (pov'petits propriétaires) qui, on les comprend, veulent continuer à empocher trois smics d'"argent de poche" par mois en n'en foutant pas une ramée.
En plus du sondage ci-dessous extrait du Figaro, je vous renvoie à la page de commentaires de l'article du quotidien de Marcel Dassault. C'est mignon tout plein. Pour un lectorat qui n'a de cesse d'exiger plus de respect de la loi et toujours plus de reconduites aux frontières, on s'étonnera de cette défense acharnée de la transgression du code de l'habitation et de cet attachement au droit d'asile en centre-ville pour les touristes étrangers.
Résumons. Le logement est une des matérialisations les plus criantes du décrochage générationnel et de la fonte du pouvoir d'achat, se doublant d'un vrai drame humain pour les plus démunis.
D'un côté. Après avoir fait leur beurre et sentant le vent tourner, les "professionnels" du secteur font mine de s'en soucier et, à l'image du patron de Nexity ou de Cafpi, brandissent l'argument de la "pénurie". Sauf que c'est pour eux moins un argument qu'un marché à capter[3]. Et l'équation est simple: si on ne peut le capter par le bas (l'endettement standard du particulier ou/et le booster du produit défiscalisé), il convient de le récupérer par le haut (récupérer à prix cassé des terrains et, éventuellement, si ce n'est pas scrupuleusement encadré, passer à une autre dimension de l'arnaque). Dinin appelle ça le "New Deal" (on n'est plus à une escroquerie lexicale prêt): "une table ronde entre les partenaires privés, l'Etat, la fondation Abbé Pierre" (sur la photo, ça fait pus crédible) où, promoteurs et banquiers (après quelques minimes concessions qualifiées de "sociales") auront la garantie que le législateur leur offriront un cadre avantageux et pérenne pour leurs activités.
De l'autre côté. Un gouvernement incompétent dans le domaine et peu intéressé par le logement (dixit Christine Boutin) qui, malgré l'échec de sa "France des propriétaires", n'a pas changé d'un iota son analyse sur le sujet. Il considère toujours la propriété comme la panacée (ça fait des classes moyennes dociles), les locataires comme des sous-hommes (ou à peine plus) et le HLM comme le mal absolu (ça fait baisser les prix des maisons des gens biens).
L'UMP, oubliant bien vite le fiasco (humain et financier) de ses maisons à 15 euros, réfléchit encore à un "droit à l'achat" pour les locataires du parc social. Pire, j'apprends que le Monarque veut faire entrer Jean-Louis Borloo dans la boucle des négociations avec "les professionnels" susmentionnés. Avec le passif des uns et des autres, nous sommes en droit de nous inquiéter sur la direction des mesures à venir. Spécialement si les grandes lignes des "mesures extrêmement puissantes sur le logement" sont tracées par Cafpi et Nexity.
Réponse au prochain épisode.
11 janvier. Lendemain de l’appel de Cantona pour placer le logement au coeur de la campagne présidentielle, je reste interdit devant une intervention radio de Alain Dinin, patron de Nexity, reprenant à la volée l'action de la fondation Abbé-Pierre pour rappeler que "85% de la population française ne peut pas acheter son logement".
Et le patron de Nexity (qui m'a spamé durant des années pour qu'avec mes 1500 euros de revenus je fasse de la défiscalisation avec ses apparts en carton vendus 10X le prix) de poursuivre avec un "Le problème n'est pas de faire une France de propriétaires. Il faut faire une France de bien-logés". Purée, c'est beau comme du Seb Musset.
Le boy scout du béton enfonce le clou: "Je sais qu'il ne faut pas faire de philosophie mais, au fond, c'est de vivre ensemble dont on parle. On ne peut pas continuer d'exclure". Tombant de la chaise à ce moment précis, je n'ai pleinement pu apprécier le plaidoyer du promoteur ému déplorant l'exode des classes moyennes consécutif à la flambée des prix (oui, celle-là même sur laquelle il a surfé pépère durant une décennie et demie en poussant les gens à accéder à la propriété, au choix, toujours plus cher ou toujours plus loin).
Dinin a beau minimiser l'influence des "produits" pour échapper à l’impôt via l'immobilier (concernant pourtant 75% des constructions neuves en 2010) ainsi que les crédits à bas taux pour les financer, il redoute la fin du juteux business-model. Le climat craint: le politique tremble pour sa note chez Fitch et le gouvernement resserre lentement les niches fiscales du secteur. L'explosion de la pauvreté par le logement ou l'absence de logement, c'était de la gnognote. Maintenant que le volume des transactions baisse pour Monsieur Pognon, tu comprends: "il y'a urgence dans les décisions".
Dans Le Figaro, le samaritain de PTZ envisage même de diminuer ses prix de 5% cette année (après les avoir explosé de 6,5% en 2010). Comme dirait Jean-François Copé lorsqu'il est à court d'idées pour expliquer l'échec de 5 ans d'UMP (c'est à dire deux fois par phrase): "la crise est passée par là".
Vidéo d'Alain Dinin chez J-P Elkabbach, Europe 1,11/01/2011:
2e cas,
Cafpi et l'agonie du crédit.
Cafpi et l'agonie du crédit.
Après les grossistes, passons aux dealers. Là aussi, grosse inquiétude: Perte du triple A et baisse sensible des intentions d'endettement chez les particuliers pour 2012. Bien média-trainé, Philippe Taboret, le boss du courtier en crédits Cafpi, intervenait le 16 janvier chez nos amis de la chaîne immo.
Dans un contexte où "L'immobilier est attaqué de tous les côtés" [comprendre, c'est la fin du Sceliier, la TVA augmente et le recul du délai pour bénéficier d'exonérations sur les PV de résidences secondaires], "on est vraiment dans une situation de désolvabilisation des emprunteurs" [comprendre, les banques ne vont désormais prêter qu'aux riches et ce n'est pas avec des bons payeurs qu'on gagne notre vie ma petite dame]. P.Taboret s'inquiète de l'assèchement du marché des primo-accédants. Avec une hausse des taux à 5%, "le [crédit sur] 30 ans devient difficile à obtenir". [Saperlipopette, la machine à gogos est cassée !] "Espérons qu'on trouve des solutions" suggère sans nuance le Taboret, rappelant que "l'immobilier est un élément important de la croissance" [et d'abord celle des vendeurs de crédit, des spéculateurs et des rentiers] avant de pointer que "bien évidemment s'il n'y a pas l'Etat pour venir soutenir la croissance et la relance, ça pose de grandes difficultés".
Pas besoin de clin d'oeil, le message est passé à l'Elysée.
Le patron serein dont on a compris en sept minutes et malgré ses roucoulements que l'activité se contracte méchant, se termine sur un bullshitesque: "L'Etat ne doit pas complètement négliger le logement en France [...] et sortir enfin une politique de logement. J'espère que le gouvernement nous en proposera une, car c'est de la croissance et du social". J'espère pour ma part que le lecteur saura apprécier à sa juste valeur cette tartufferie. Après s'être goinfré pendant des années sur la bulle, le courtier remplace les mots "projets immobiliers" dans ses prospectus (au bas des photos de couples hilares à l'idée de se coller quatre décennies de traites pour un placement foireux à Gerbouly-la-Décharge) par les mots "logement" et "social" dans des suppliques policées à destination des pouvoirs publics. Pourvu que l'Etat fasse enfin quelque chose pour le logement afin de sauver sa petite entreprise à générer du pauvre.
3e cas,
Propriétaires, rentiers et indignés !
Propriétaires, rentiers et indignés !
Bonne nouvelle. Bertrand Delanoë s'attaque enfin à la pied-à-terrisation parisienne (chouchou du blog) qui, en moins de 5 ans, a transformé la capitale en annexe hôtelière privative et dérégulée d'Eurodisney. Les multi-proprios avec un peu d'épargne ont, à leur manière, avant Nexity et Cafpi, anticipé l'insolvabilité des ménages dans une ville aux loyers déjà élevés, en ne louant leurs appartements qu'aux touristes. Les loyers ont ainsi pu passer d'indécents à inaccessibles pour les gens du cru. Les bas revenus ne sont tout simplement plus souhaités à Paris. Nos innocents propriétaires sont désormais secondés par des agences immobilières, ou devrais-je les appeler agences de tourisme, ne se cachant plus pour afficher des 1000 euros la semaine pour un 3 pièces.
La Mairie de Paris entend faire respecter le droit en obligeant juridiquement les propriétaires de locations meublées courte durée à modifier le statut foncier des biens concernés en "locaux à usage commercial". Ce qui entraîne une amende de 2000 euros des frais parfois élevés.
20minutes nous apprend le 19 janvier que seulement 5 condamnations ont été prononcées pour le moment. Mais cela suffit pour mettre le mini cartel des agences de meublés parisiens en transes et provoquer la colère des PPP (pov'petits propriétaires) qui, on les comprend, veulent continuer à empocher trois smics d'"argent de poche" par mois en n'en foutant pas une ramée.
En plus du sondage ci-dessous extrait du Figaro, je vous renvoie à la page de commentaires de l'article du quotidien de Marcel Dassault. C'est mignon tout plein. Pour un lectorat qui n'a de cesse d'exiger plus de respect de la loi et toujours plus de reconduites aux frontières, on s'étonnera de cette défense acharnée de la transgression du code de l'habitation et de cet attachement au droit d'asile en centre-ville pour les touristes étrangers.
Résumons. Le logement est une des matérialisations les plus criantes du décrochage générationnel et de la fonte du pouvoir d'achat, se doublant d'un vrai drame humain pour les plus démunis.
D'un côté. Après avoir fait leur beurre et sentant le vent tourner, les "professionnels" du secteur font mine de s'en soucier et, à l'image du patron de Nexity ou de Cafpi, brandissent l'argument de la "pénurie". Sauf que c'est pour eux moins un argument qu'un marché à capter[3]. Et l'équation est simple: si on ne peut le capter par le bas (l'endettement standard du particulier ou/et le booster du produit défiscalisé), il convient de le récupérer par le haut (récupérer à prix cassé des terrains et, éventuellement, si ce n'est pas scrupuleusement encadré, passer à une autre dimension de l'arnaque). Dinin appelle ça le "New Deal" (on n'est plus à une escroquerie lexicale prêt): "une table ronde entre les partenaires privés, l'Etat, la fondation Abbé Pierre" (sur la photo, ça fait pus crédible) où, promoteurs et banquiers (après quelques minimes concessions qualifiées de "sociales") auront la garantie que le législateur leur offriront un cadre avantageux et pérenne pour leurs activités.
De l'autre côté. Un gouvernement incompétent dans le domaine et peu intéressé par le logement (dixit Christine Boutin) qui, malgré l'échec de sa "France des propriétaires", n'a pas changé d'un iota son analyse sur le sujet. Il considère toujours la propriété comme la panacée (ça fait des classes moyennes dociles), les locataires comme des sous-hommes (ou à peine plus) et le HLM comme le mal absolu (ça fait baisser les prix des maisons des gens biens).
L'UMP, oubliant bien vite le fiasco (humain et financier) de ses maisons à 15 euros, réfléchit encore à un "droit à l'achat" pour les locataires du parc social. Pire, j'apprends que le Monarque veut faire entrer Jean-Louis Borloo dans la boucle des négociations avec "les professionnels" susmentionnés. Avec le passif des uns et des autres, nous sommes en droit de nous inquiéter sur la direction des mesures à venir. Spécialement si les grandes lignes des "mesures extrêmement puissantes sur le logement" sont tracées par Cafpi et Nexity.
Réponse au prochain épisode.
[1] Bien que la remontée sondagière de cette tarte de droite nommée Bayrou et de son attelage de seconds couteaux libéraux, le tout plébiscité par une poignée de sectaires dont la puissance du projet politique se résume à "bah, ça peut pas être pire que Sarkozy", en plus de m'accabler sur l'état mental de mon pays, commence à m’inquiéter.
[2] La peluche Apparu existe en trois modèles: pseudo volontariste, pédante ou super fière d'elle. Elle dispose d'un vocabulaire de 5 phrases déclinables en mode shuffle sur simple caresse journalistique. Elle vous sera livrée en 16/9 avec son modèle anti-refoulement nasal de coke et sa carte abonné libre accès sur BFM business.
[3] Tu veux vraiment vite en finir de la pénurie de logements dans ce pays? Commence déjà par massivement taxer les logements vides ou sous-occupés. Tu vas voir que de la superficie va vite se libérer. Même et surtout au coeur des fameuses "zones tendues".
[2] La peluche Apparu existe en trois modèles: pseudo volontariste, pédante ou super fière d'elle. Elle dispose d'un vocabulaire de 5 phrases déclinables en mode shuffle sur simple caresse journalistique. Elle vous sera livrée en 16/9 avec son modèle anti-refoulement nasal de coke et sa carte abonné libre accès sur BFM business.
(suggestion de présentation)
[3] Tu veux vraiment vite en finir de la pénurie de logements dans ce pays? Commence déjà par massivement taxer les logements vides ou sous-occupés. Tu vas voir que de la superficie va vite se libérer. Même et surtout au coeur des fameuses "zones tendues".
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